"Un prof qui disparaît c'est une voiture qui brûle"
vendredi 30 janvier 2009
mardi 13 janvier 2009
dimanche 11 janvier 2009
vendredi 9 janvier 2009
En ces temps sombres qui rythment encore et encore le conflit Israelo-Palestinien, je ne saurai que trop vous conseiller ce roman.
J'aime beaucoup Valérie Zenatti.
Ce livre en particulier.
J'aime beaucoup Valérie Zenatti.
Ce livre en particulier.
Née à Nice en 1970 dans une famille juive, Valérie Zenatti a émigré en Israël à l’âge de 13 ans. Avec sa famille, elle a vécu à Beer-Sheva, ville du sud d'Israël. De 1988 à 1990, elle effectue son service militaire comme toutes les jeunes Israéliennes de son âge.
« J'avais toujours cette impression de ne pas être au bon endroit. Je me sentais ashkénaze, mais ma famille était séfarade. J'ai rejeté la religion, tout en vouant une véritable passion à la Bible et au Talmud. J'adorais Jérusalem, mais je faisais tout pour aller à Tel-Aviv. » (extrait d'un entretien de l’auteur avec Émilie Grangeray, Le Monde 27 septembre 2002)
« J'avais toujours cette impression de ne pas être au bon endroit. Je me sentais ashkénaze, mais ma famille était séfarade. J'ai rejeté la religion, tout en vouant une véritable passion à la Bible et au Talmud. J'adorais Jérusalem, mais je faisais tout pour aller à Tel-Aviv. » (extrait d'un entretien de l’auteur avec Émilie Grangeray, Le Monde 27 septembre 2002)
[Opéra]tion free[ze]
Le 13 décembre dernier, je me suis rendue à Lyon pour "Freezer".
Pour quoi ? pour "freezer", c'est à dire être dans la confidence avec quelques centaines de personnes (environ 400) et préparer un spectacle de rue quelque peu étrange.
Le but de ce plan génialissime est le dernier :
-Se retrouver en un lieu pré-définit une heure avant le début du freeze. Se partager en 14 groupes pour mieux infiltrer la place de l'Opéra. Régler nos montres à l'heure et donner le signal de départ "dans trois quart d'heure personne ne bouge".
-Se rendre sur place, "hôtel de Ville Louis Pradel", effectuer un repérage, puis se ballader, faire sa vie, ne pas stagner sur place.
-Les minutes défilent et les 45 passent comme une éclair. Enfin arrive la détonation (un pétard géant), signal de départ, ou plutôt d'arrêt.
Le regard se fixe, les membres se figent, la respiration se coupent et tentent de se faire discrète.
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