jeudi 18 décembre 2008

Des fois comme ça le soir, je revisite certains dossiers à la recherche de photos, d'écrits, oubliés momentanément.
Ce soir, j'ai réouvert le dossier contenant mes photos du Niger, non sans difficulté, non sans frisson.
Alors sans bien savoir pourquoi, peut-être simplement pour partager à nouveau avec vous ces images que certains n'ont encore jamais vu, je m'en vais les poster par ici.

"Là-bas la terre n'est pas aussi dure, elle est ferme mais accueillante et reçoit ton corps comme si elle ne souhaitait que le relancer, pleine de courage, depuis, ici, j'ai mal aux pieds."








lundi 15 décembre 2008

14 décembre 2008 : un journaliste irakien jette 2 chaussures sur George W. Bush lors d'une conférence de presse en présence du Premier Ministre iraqien Nouri al-Maliki


Mountazer al-Zaïdi, correspondant de la télé irakienne Al-Baghdadia, est en passe de devenir un héros dans le monde arabe.

Pourquoi ? La réponse en vidéo :

De la part des veuves, des orphelins, et de tous ceux qui ont été tués en Irak!"

Le président américain a esquivé les chaussures. Il a ensuite plaisanté:

"Tout ce que je peux vous dire, c'est que c'était du 43."

Il est quand même très fort, qu'à peine 3 jours plus tard soit en ligne ce site :

http://play.sockandawe.com/

Où l'on peut s'entrainer à bombarder Georges W. à coup de savatte en pleine conférence de presse.

dimanche 14 décembre 2008



Je ne suis en rien Réac mais lorsque je vois sur facebook que dans la partie "related group" du groupe "
Pour continuer les Blocus des lycées et manifester fasse aux news reformes" je tombe sur un deuxième groupe chargé de réunir tous les faceboucéens "Pour tous ceux qui espèrent en début d'heure que le prof sera absent"...
Alors je me marre doucement !!

... Admirez l'orthographe du mot "fasse" et de la syntaxe franco-anglaise !





lundi 8 décembre 2008

Hunger

Mon frère m'avait conseillé de ne pas aller le voir toute seule. C'est donc accompagnée de deux de mes amies que je me suis rendue au Club en cette soirée froide où les doigts se doivent de sortir couverts et où le cache-nez et la doudoune ne sont pas de refus.
J'y suis allée, sans m'être réellement renseigné au préalable. Dans la demi-heure qui avait précédé mon départ j'avais visionné la bande-annonce et j'étais aller me balader sur quelques sites "historiques", un peu à la va-vite, vite fait mal fait.
Bon... ça n'a pas manqué, j'ai bien évidemment pleuré.

C'est un TRÈS bon film, à voir.
En tout cas je pense qu'il sera une aide précieuse pour passez quelques heures le nez plongé dans les bouquins de civilisation, afin de réviser ces partiels qui arrivent beaucoup trop vite, un moyen de se motiver, de rendre plus concret les différents thèmes abordés depuis le début de l'année.



vendredi 5 décembre 2008

Mon ami Ronald !

Ce site est vraiment très chouette !
Passez-par là et faites vous un peu rêver, rire, ou bader !
Celle-ci est toute particulièrement cynique !


dimanche 30 novembre 2008

La définition du PNB selon Pierre Rabhi


Qui est Pierre Rabhi ? Franco-Algérien, homme du désert, agriculteur, homme politique (même s'il s'en est retiré petit à petit depuis 2002)... mais surtout penseur. Créateur en 2007 du "mouvement international pour la terre et l'humanisme". Il est un personnage assez mystique imprégné de croyances et de légendes qui ne viennent que rarement altérer ses propos mais qui caractérise bien son personnage et le met en valeur par sa tonalité particulière, son milieu particulier, le choix de ses mots, son sourire...
Il était le président d'honneur du salon Naturissima de Grenoble, dont il salut l'initiative et où il a donné une conférence sur le thème était la sobriété gratifiante.
Son blog



Sa définition du PNB : "Ma mère est française et le moins qu'on puisse dire c'est qu'elle est une grande amatrice de vin. Elle n'aime pas l'eau, trop fade à son goût. Parfois il faut même insister afin qu'elle prenne ses médicaments avec de l'eau. Ceci ne l'a pas empêché de devenir centenaire. Mais de mon côté elle répudiait ma façon modéré de boire du vin puisqu'il faut bien l'avouer je ne dois boire environ qu'une gorgée à chaque grande occasion. Une dizaine d'année avant sa mort, pour des raisons médicales, peut-être voulait-elle être se rapprocher de nous, elle est venue s'installer près de chez nous en Ardèche. Un jour, alors que nous étions au restaurant juste tous les deux, elle commande une bouteille d'un vin qu'elle apprécie particulièrement. Cette fois-ci je lui demande de m'en servir un doigt [il désigne alors la différence entre la hauteur d'un doigt à l'horizontal et la hauteur d'un doigt à la verticale]. Nous trinquons. Après le repas, repus, nous croisons une amie et dans la description du repas que nous venons de faire, ma mère ajoute spontanément que nous avons bu une bouteille de rouge à deux... Voilà c'est ça le PNB"

Petite parenthèse :Voici les mots de Pierre Rabhi pour illustrer la tendance sociale actuelle : "Si je venais à vous demander où vous travaillez, la plupart d'entre vous me répondriez que vous travaillez dans une petite boite ou bien une grosse boite. Même les jeunes pour s'amuser de nos jours vont en boite. Et savez-vous comment ils y vont ? En caisse. Plus tard on nous envoie dans des boites pour vieillard et enfin je ne vous décris pas la fin de l'ultime boite."




Découvrez Malvina Reynolds!

lundi 24 novembre 2008

Un Bon envoi, autour du poêle.

Une plante qui va bien grandir dans la chaleur de ma chambre !

4 automnes !






Découvrez Ace of Base!

mardi 4 novembre 2008

Pauvre Tarzan !

Nouvelle campagne du WWF
Un brin d'humour sarcastique pour cette campagne sur la déforestation réalisée par l'agence Uncle Grey du Danemark .
"15 kilomètres carrés de forêt tropicale disparaissent chaque minute".
Une banane à la main, de l'autre se balançant nonchalamment au bout de sa liane la plus résistante, le plus fidèle ami de Chiita, se retrouve mal en point, prêt à tomber puisqu'emporter dans son élan notre homme-singe ne trouve pas de liane de secours.
Le voilà à moitié nu, en l'air, dans cette nouvelle carrière récemment créée.


mercredi 29 octobre 2008

Yeah ! Vraiment classe ce clip vidéo !

Qu'il gagne ou perde, sa campagne marque l'irruption d'une nouvelle génération, celle que certains auteurs appellent la génération du millénaire.



mardi 28 octobre 2008


Originalité !

“L' exactitude n'est pas la vérité”
Henri Matisse

Z'yeutez un œil par ici : exactitudes

Attention ! Nous serions tous des clones !




vendredi 24 octobre 2008

UN MONDE NOUVEAU !?

Dans la ville montagnarde de Grenoble, située très à gauche sur le plan politique, les 19, 20 & 21 Septembre, était organisé par le quotidien Libération, un forum/débat que je jugerai d'assez bonne qualité. Le thème centrale « Un nouveau monde ! » étant, assez général et dans l'aire du temps, les thématiques rencontrées intégrait la crise actuelle, l'écologie, l'économie de façon plus générale, les conditions de la paix, la culture, l'éducation, la diplomatie, et les politiques à mettre en place dans le cadre de ces polémiques. Pour plus d'information je vous incite à jeter un oeil sur le site de la MC2 : www.mc2grenoble.fr .

Sur les conseils de mon père, afin d'éviter les débats non-ouverts, les exposés fermés d'opinions, ainsi que les représentants du gouvernement actuel présents dans le seul but de valoriser les actions exécutées et à venir, j'ai finalement opté pour une douzaine de débat dont voici la liste :

Vendredi :

Le progrès a t-il encore un avenir ?

Intervenants : Daniel Cohn-Bendit et Jack Lang

Une justice pour punir ou pour réinsérer ?

Intervenants : Rachida Dati et Marylise Lebranchu

Envolée des prix mondiaux : chance ou menace ?

Intervenants : Jean-Louis Bianco et Aurélie Trouvé

La fin de la sociale démocratie ?

Intervenants : Piero Fassino et Pierre Rosanvallon

Samedi :

L'écologie est-elle morte ?

Intervenants : Nathalie Kosciusko Morizet et Alain Lipietz

Comment intéresser les peuples à l'Europe ?

Intervenants : Laurent Fabius et Nicolas Schmit

Quelles frontières pour l'Europe ?

Intervenants : Sylvie Goulard et Ahmet Insel

Les mégalopoles sont elles inéluctables ?

Intervenants : Philippe Estebe et Olivier Mongin.:

Dimanche :

Faut-il avoir peur de la Russie ?

Intervenants : Salome Zourabichvili et Bernard Guetta

La crise financière actuelle est-elle comparable à celle de 1929 ?

Intervenants : Olivier Pastre et Liêm Hoang Ngoc

Les catastrophes en guise de pédagogie ?

Intervenants : Jean-Pierre Dupuy et Albert Jacquart.

Quantitativement satisfaisant la qualité n'étant pas quelques rares fois au rendez-vous je ne vous eelaterai que quelques uns des débats outre les quelques petites détails croustillant qu' évidemment je vous narrerai.

Sinon j'ai bien aimé croquer quelques uns des conférenciers :

Réflexions.

Au beau milieu d'un cours d'Analyse économique alors que le professeur exulte à propos de la crise financière internationale actuelle. Je relis les deux dernières pages manuscrites que je viens d'achever (vu la vitesse mon poigneux est douloureux). Je rélise alors que le mot "théorie" ressort nettement et se retrouve en intitulé de la plupart de mes paragraphes avant d'être démentelé à la fin par je ne sais quelle autre théorie de je ne sais quel autre économiste. Pourtant un ancien souvenir de philosophie du secondaire me revient et m'induit du carcatère universelle que cherche à détenir une théorie.
Curieuse je me lance à la recherche du terme sur Wikipédia :
"Une théorie (du grec theorein, « contempler, observer, examiner ») désigne couramment une idée ou une connaissance spéculative, souvent basée sur l’observation ou l’expérience, donnant une représentation idéale, éloignée des applications."
Je remarque effectivement qu'au cours des sciècles de nombreux économistes ont cherchés à expliciter des principes "pérennes". Afin que la valeur de leur propos puisse expliquer non pas un phénomène actuelle mais l'ensemble des phénomènes relatifs à la théorie, d'hier, d'aujourd'hui et de demain.
La difficulté réside alors dans l'universalité de la théorie. Il faut que celle-ci soit réalisé sur une longue période pour être enfin "admise".
Si une théorie scientifique accède plus facilement au rang de l'universalité, on notera par excellence la théorie d'Isaac Newton (mathématicien, physicien et astronome anglais) sur "l'Attraction universelle"; une théorie "humaine", "sociale" risque en permanence la critique, la révision.
Prenons par exemple, en économie l'école classique. Alors que certains économistes contemporains préconisent, dans le contexte actuel, le retour aux théories classiques, je m'intérroge sur la nature de ces théories. Lesquelles ?
Puisque si l'on s'intéresse à l'école classique, nous remarquons qu'il est très difficile à discerner une théorie commune à ces économistes dont les plus connus restent Smith, Ricardo, Malthus, Say... Si'ils cherchent à expliquer les mêmes phénomènes, si certaines de leurs propositions coïncident, l'école classique est loin d'être homogène (par exemple deux conceptions de la valeur).
Un décalage oppose donc les théories scientifiques aux théories dites "sociales".
Ce qui m'amène à la notion "discipline" : " Science, matière pouvant faire l'objet d'un enseignement spécifique". On dit donc qu'une discipline naît à partir du moment où elle ets une science c'est à dire un ensemble de connaissances approfondies des choses dans ce qu'elles sont. Et le termes "ce qu'elles sont" nous ramène à l'idée qu'une science pour être générale doit se composer de théories générales.

Vous me suivez ?

Concrètement, c'est peut-êtreà cause de ceci que la classe S est valorisée dans l'enseignement secondaire, porteuse d'une doctrine fiable et de théories universelles (qui ne sont que rarement remises en questions). Pour ce qui est de la classe ES, l'enseignement destiné aux élèves est bien souvent remanié encore et encore, parfois même les fondamentaux sont modifiés.



dimanche 19 octobre 2008

Under it !

L'actualité bourdonne de mille et une chose croustillantes, navrantes, amusantes...

Compte tenu de la quantité de travail que je dois digérer, je suis assez satisfaite de mon 8/10, résultat du test hebdomadaire de rue89 sur
l'actualité.

Mais j'avais bien envie de vous parler en cette après-midi ensoleillée, de la langue du candidat à la maison blanche Mr John MacCain qui de façon incontrolable s'étend hors de la bouche de ce vétéran maintenant connu internationalement pour son "sang froid" et ses paroles d'une intensité à vous couper le souffe "I'm not George Bush !". En effet aussi encombrante soit-elle, nous noterons tout de même la longueur, mais surtour la vigueur de ce morceau de chair rose, celle-ci n'en fait qu'à sa tête et s'éjecte tel un serpent sur son ragondin, désireuse de s'aventurer au dehors, quelle que soit la manifestation publique grondant derrière les cellules vieillissante de la lèvre du sénateur. Grâce au travail des photojournalistes, et à leur majestueux réflex aussi rapide que la lumière, malgré la rapidité dont elle fait preuve, cette dernière apparaît sur de nombreuses photos désormais réparties dans la presse internationale.


On l'aperçoit lors du dernier débat opposant MacCain à Obama, alors que le sénateur oscille entre la droite et la gauche (au sens littéral).

lundi 15 septembre 2008

Allez, je vais encore pleurer.
"vois ce que je perds en sang et en eau..."




dimanche 14 septembre 2008

Miscellanées


La vie va t-elle reprendre son cours ? telle qu'elle ? Peut-être bien. Pourtant cette fois-ci j'ai un but, un projet, à moi, rien qu'à moi. Une envie irrésistible d'y parvenir. Serait-ce de la motivation que je perçois ? Pourtant non. Pourquoi ça ne va toujours pas ? Je me dégoûte, c'est dur de se l'avouer mais assez libérateur.
Je ne me sens bien ni ici ni chez moi. Nulle part. Tout aurait due se dérouler tel que se profilait l'avenir du coup j'ai cette impression de décevoir, mais peut-être est-ce moi la première déçue de ma percevoir comme incapable de surmonter ça. J'ai tout ce qu'il me faut pour réussir, gagner. Mais quelque chose s'érige devant moi, inconsciemment construit. Bon dieu ce que c'est solide. Je lutte contre moi-même, lâche et perdante comme souvent fatiguée de me sentir ratée. Épuisée, tétanisée par l'échec. Je ne sens personne apte à m'aider. Personne à qui parler. J'espérai cette situation temporaire, mais la déterminer ainsi n'a fait que l'amener à perdurer. Se voiler la face, et se dire que tout va pour le mieux.
Je suis curieuse de plein de chose, j'aime lire et écouter. J'aime découvrir et crapahuter étape après étape. J'estime que la vie est courte. Et j'aimerai en déduire que chaque instant doit en être une pépite, un éclat. Qu'elle est vilaine la chance. Et pourtant dieu seul sait à quel point elle a bien fait son travail malgré les handicaps notoires que la nature lui dressait devant elle, lui barrant la route. M'aurait-elle lâché un peu trop tôt ? M'aurait-elle trop protégée ? Une chose est sure je ne sais plus marcher droit, je peux valser, voler parfois, mais j'ai toujours en moi ce poids qui ne veut pas se dégager, me lester. Il faut que j'aprenne à vivre avec puisque le choix de faire avec ou sans n'est pas en option.

Un jour j'irai au Cambodge, moi aussi.


C'est peut-être ça l'écriture kilomètre ?


Découvrez Elliott Smith!

jeudi 7 août 2008

Paris on the road...

Le président N. Sarkozy se rendra donc bel et bien à la soirée d'ouverture des jeux olympiques de Pékin. En ce qui concerne la récente décision de ne pas rencontrer le Dalaï-lama, le chef de l'état a affirmé qu'elle avait été prise par sa sainteté le chef tibétain elle-même qui séjournera en France pendant au mois d'août. Selon un communiqué de l'Élysée publié mercredi dernier : "Le président de la République comprend les raisons qui conduisent le Dalaï Lama, compte tenu des circonstances présentes, à ne pas solliciter un entretien durant son séjour au mois d'août en France". Mais il ne se rendra pas là-bas les poches vides et la bouche en coeur puisque le député vert européen, co-président du groupe des Verts au Parlement européen, Daniel Cohn-Bendit, a affirmé dimanche avoir transmis à Nicolas Sarkozy, sur sa demande, trois listes de prisonniers politiques chinois dont il souhaite que le président français réclame la libération lors de sa visite à Pékin en août.
L'eurodéputé, ex-soixantehuitard, n'avait pas caché son émotion lors de sa prise de parole dans l'hémicycle du parlement européen de Strasbourg, le 10 juillet dernier, où, s'accrochant sur les mots, il dénonçait de façon virulente la honte, au nom de l'Europe, d'une telle visite, traitant le chef de l'État de minable.


Voyez plutôt :


Sinon pour les amateurs de Paris Hilton en personne, et histoire de savoir rire de certaines choses, j'ai appris, grâce au site Rue89, que l'héritière la plus people du moment, venait officiellement d'annoncer sa candidature à la présidence des Etats-Unis d'Amérique.

Férifiez par vous-même si vous ne me croyez pas... :

See more funny videos at Funny or Die


D’abord, la voix-off égratigne John McCain :

« C’est la plus vieille célébrité du monde. Il est super vieux. Suffisamment vieux pour se souvenir de l’époque où danser était un péché et où on buvait la bière dans des seaux… Mais, est-il prêt à diriger le pays ? »

Puis la blonde :

« Hello l’Amérique, je suis Paris Hilton et je suis aussi une célébrité. Mais je n’appartiens pas au passé et je ne promets pas le changement comme l’autre type. Je suis simplement une bombe. Mais si ce type ridé aux cheveux blancs m’a utilisée dans son spot de campagne, ça doit vouloir dire que je suis candidate à la présidence… »

Et de développer un programme énergétique bidouillé à partir de ceux des deux candidats : davantage de forage de pétrole offshore, mais sous certaines conditions environnementales, et des incitations fiscales pour que l’industrie automobile développe des modèles hybrides et électriques.

« Et maintenant, vous m’excuserez, il faut que je choisisse un vice-président. Je pense à Rihanna. On se verra à la Maison-Blanche. Je vais peut-être la repeindre en rose… »

La fausse pub parodie et répond à celle dans laquelle, la semaine dernière, le candidat républicain John McCain accusait Barack Obama de n’être rien de plus qu’une célébrité du moment.

lundi 4 août 2008

jeudi 3 juillet 2008

A ma façon,


21h16, premiers echos d'une probable libération d'Ingrid Bettancourt.

La presse s'en donne a coeur joie comme elle sait si bien le faire, traque la moindre piste de bout de retrouvaille familiale, place en première page la sourire d'Ingrid et de ses proches, les larmes de Mélanie et transcrit les différents discours, véritable création d'un ensemble médiatique qui fera pleurer dans les chaumières de nos chères éco-citoyens. Je reste néanmois perplexe devant la rapidité et la qualité journalistique de certains médias. Une question ne cesse pourtant de m'intérroger "Pourquoi TF1, chaine qui à tendance surmédiatisé les faits, n'a t-elle pas interrompu ses programmes comme ses consoeurs plus âgée, et présenté SA version mélodramatique des faits ?". Le monde titre aujourd'hui "Ingrid Betancourt : six ans, quatre mois et neuf jours", rappelons que c'est le 23 février 2002 que sa vie a basculé, mais que ce n'est que bien plus tard qu'elle est devenue Le symbole des oatges dits "politiques" retenus par les FARC. Elle avait choisi la politique dans un pays meurtri et meurtrier, maintenant un cap écologiste, novateur et culoté, militant pour la paix bien que les autorités Colombiennes y eut renoncée. J'espère que les récupérations se feront rares, et malgré le tapage médiatique internationale dont notre cher président est le principal coordinateur, N.Sarkozy ne s'est attribué aucun rôle dans la libération. Je reste assez perplexe devant l'opération en elle -même, devant l'organisation et l'ingéniosité. J'ai l'imréssion d'être très peu critique, probablement parce que je plonge béhat dans le grand bain de la médiatisation frénétique.



Le mois de juillet commencent bien quand même non ?