Réflexions.
Au beau milieu d'un cours d'Analyse économique alors que le professeur exulte à propos de la crise financière internationale actuelle. Je relis les deux dernières pages manuscrites que je viens d'achever (vu la vitesse mon poigneux est douloureux). Je rélise alors que le mot "théorie" ressort nettement et se retrouve en intitulé de la plupart de mes paragraphes avant d'être démentelé à la fin par je ne sais quelle autre théorie de je ne sais quel autre économiste. Pourtant un ancien souvenir de philosophie du secondaire me revient et m'induit du carcatère universelle que cherche à détenir une théorie.
Curieuse je me lance à la recherche du terme sur Wikipédia :
"Une théorie (du grec theorein, « contempler, observer, examiner ») désigne couramment une idée ou une connaissance spéculative, souvent basée sur l’observation ou l’expérience, donnant une représentation idéale, éloignée des applications."
Je remarque effectivement qu'au cours des sciècles de nombreux économistes ont cherchés à expliciter des principes "pérennes". Afin que la valeur de leur propos puisse expliquer non pas un phénomène actuelle mais l'ensemble des phénomènes relatifs à la théorie, d'hier, d'aujourd'hui et de demain.
La difficulté réside alors dans l'universalité de la théorie. Il faut que celle-ci soit réalisé sur une longue période pour être enfin "admise".
Si une théorie scientifique accède plus facilement au rang de l'universalité, on notera par excellence la théorie d'Isaac Newton (mathématicien, physicien et astronome anglais) sur "l'Attraction universelle"; une théorie "humaine", "sociale" risque en permanence la critique, la révision.
Prenons par exemple, en économie l'école classique. Alors que certains économistes contemporains préconisent, dans le contexte actuel, le retour aux théories classiques, je m'intérroge sur la nature de ces théories. Lesquelles ?
Puisque si l'on s'intéresse à l'école classique, nous remarquons qu'il est très difficile à discerner une théorie commune à ces économistes dont les plus connus restent Smith, Ricardo, Malthus, Say... Si'ils cherchent à expliquer les mêmes phénomènes, si certaines de leurs propositions coïncident, l'école classique est loin d'être homogène (par exemple deux conceptions de la valeur).
Un décalage oppose donc les théories scientifiques aux théories dites "sociales".
Ce qui m'amène à la notion "discipline" : " Science, matière pouvant faire l'objet d'un enseignement spécifique". On dit donc qu'une discipline naît à partir du moment où elle ets une science c'est à dire un ensemble de connaissances approfondies des choses dans ce qu'elles sont. Et le termes "ce qu'elles sont" nous ramène à l'idée qu'une science pour être générale doit se composer de théories générales.
Vous me suivez ?
Concrètement, c'est peut-êtreà cause de ceci que la classe S est valorisée dans l'enseignement secondaire, porteuse d'une doctrine fiable et de théories universelles (qui ne sont que rarement remises en questions). Pour ce qui est de la classe ES, l'enseignement destiné aux élèves est bien souvent remanié encore et encore, parfois même les fondamentaux sont modifiés.
Au beau milieu d'un cours d'Analyse économique alors que le professeur exulte à propos de la crise financière internationale actuelle. Je relis les deux dernières pages manuscrites que je viens d'achever (vu la vitesse mon poigneux est douloureux). Je rélise alors que le mot "théorie" ressort nettement et se retrouve en intitulé de la plupart de mes paragraphes avant d'être démentelé à la fin par je ne sais quelle autre théorie de je ne sais quel autre économiste. Pourtant un ancien souvenir de philosophie du secondaire me revient et m'induit du carcatère universelle que cherche à détenir une théorie.
Curieuse je me lance à la recherche du terme sur Wikipédia :
"Une théorie (du grec theorein, « contempler, observer, examiner ») désigne couramment une idée ou une connaissance spéculative, souvent basée sur l’observation ou l’expérience, donnant une représentation idéale, éloignée des applications."
Je remarque effectivement qu'au cours des sciècles de nombreux économistes ont cherchés à expliciter des principes "pérennes". Afin que la valeur de leur propos puisse expliquer non pas un phénomène actuelle mais l'ensemble des phénomènes relatifs à la théorie, d'hier, d'aujourd'hui et de demain.
La difficulté réside alors dans l'universalité de la théorie. Il faut que celle-ci soit réalisé sur une longue période pour être enfin "admise".
Si une théorie scientifique accède plus facilement au rang de l'universalité, on notera par excellence la théorie d'Isaac Newton (mathématicien, physicien et astronome anglais) sur "l'Attraction universelle"; une théorie "humaine", "sociale" risque en permanence la critique, la révision.
Prenons par exemple, en économie l'école classique. Alors que certains économistes contemporains préconisent, dans le contexte actuel, le retour aux théories classiques, je m'intérroge sur la nature de ces théories. Lesquelles ?
Puisque si l'on s'intéresse à l'école classique, nous remarquons qu'il est très difficile à discerner une théorie commune à ces économistes dont les plus connus restent Smith, Ricardo, Malthus, Say... Si'ils cherchent à expliquer les mêmes phénomènes, si certaines de leurs propositions coïncident, l'école classique est loin d'être homogène (par exemple deux conceptions de la valeur).
Un décalage oppose donc les théories scientifiques aux théories dites "sociales".
Ce qui m'amène à la notion "discipline" : " Science, matière pouvant faire l'objet d'un enseignement spécifique". On dit donc qu'une discipline naît à partir du moment où elle ets une science c'est à dire un ensemble de connaissances approfondies des choses dans ce qu'elles sont. Et le termes "ce qu'elles sont" nous ramène à l'idée qu'une science pour être générale doit se composer de théories générales.
Vous me suivez ?
Concrètement, c'est peut-êtreà cause de ceci que la classe S est valorisée dans l'enseignement secondaire, porteuse d'une doctrine fiable et de théories universelles (qui ne sont que rarement remises en questions). Pour ce qui est de la classe ES, l'enseignement destiné aux élèves est bien souvent remanié encore et encore, parfois même les fondamentaux sont modifiés.
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