Qu'il gagne ou perde, sa campagne marque l'irruption d'une nouvelle génération, celle que certains auteurs appellent la génération du millénaire.
mercredi 29 octobre 2008
mardi 28 octobre 2008
“L' exactitude n'est pas la vérité”
Henri Matisse
Z'yeutez un œil par ici : exactitudes
Attention ! Nous serions tous des clones !
vendredi 24 octobre 2008
UN MONDE NOUVEAU !?
Dans la ville montagnarde de Grenoble, située très à gauche sur le plan politique, les 19, 20 & 21 Septembre, était organisé par le quotidien Libération, un forum/débat que je jugerai d'assez bonne qualité. Le thème centrale « Un nouveau monde ! » étant, assez général et dans l'aire du temps, les thématiques rencontrées intégrait la crise actuelle, l'écologie, l'économie de façon plus générale, les conditions de la paix, la culture, l'éducation, la diplomatie, et les politiques à mettre en place dans le cadre de ces polémiques. Pour plus d'information je vous incite à jeter un oeil sur le site de la MC2 : www.mc2grenoble.fr .
Sur les conseils de mon père, afin d'éviter les débats non-ouverts, les exposés fermés d'opinions, ainsi que les représentants du gouvernement actuel présents dans le seul but de valoriser les actions exécutées et à venir, j'ai finalement opté pour une douzaine de débat dont voici la liste :
Vendredi :
Le progrès a t-il encore un avenir ?
Intervenants : Daniel Cohn-Bendit et Jack Lang
Une justice pour punir ou pour réinsérer ?
Intervenants : Rachida Dati et Marylise Lebranchu
Envolée des prix mondiaux : chance ou menace ?
Intervenants : Jean-Louis Bianco et Aurélie Trouvé
La fin de la sociale démocratie ?
Intervenants : Piero Fassino et Pierre Rosanvallon
Samedi :
L'écologie est-elle morte ?
Intervenants : Nathalie Kosciusko Morizet et Alain Lipietz
Comment intéresser les peuples à l'Europe ?
Intervenants : Laurent Fabius et Nicolas Schmit
Quelles frontières pour l'Europe ?
Intervenants : Sylvie Goulard et Ahmet Insel
Les mégalopoles sont elles inéluctables ?
Intervenants : Philippe Estebe et Olivier Mongin.:
Dimanche :
Faut-il avoir peur de la Russie ?
Intervenants : Salome Zourabichvili et Bernard Guetta
La crise financière actuelle est-elle comparable à celle de 1929 ?
Intervenants : Olivier Pastre et Liêm Hoang Ngoc
Les catastrophes en guise de pédagogie ?
Intervenants : Jean-Pierre Dupuy et Albert Jacquart.
Quantitativement satisfaisant la qualité n'étant pas quelques rares fois au rendez-vous je ne vous eelaterai que quelques uns des débats outre les quelques petites détails croustillant qu' évidemment je vous narrerai.
Sinon j'ai bien aimé croquer quelques uns des conférenciers :
Au beau milieu d'un cours d'Analyse économique alors que le professeur exulte à propos de la crise financière internationale actuelle. Je relis les deux dernières pages manuscrites que je viens d'achever (vu la vitesse mon poigneux est douloureux). Je rélise alors que le mot "théorie" ressort nettement et se retrouve en intitulé de la plupart de mes paragraphes avant d'être démentelé à la fin par je ne sais quelle autre théorie de je ne sais quel autre économiste. Pourtant un ancien souvenir de philosophie du secondaire me revient et m'induit du carcatère universelle que cherche à détenir une théorie.
Curieuse je me lance à la recherche du terme sur Wikipédia :
"Une théorie (du grec theorein, « contempler, observer, examiner ») désigne couramment une idée ou une connaissance spéculative, souvent basée sur l’observation ou l’expérience, donnant une représentation idéale, éloignée des applications."
Je remarque effectivement qu'au cours des sciècles de nombreux économistes ont cherchés à expliciter des principes "pérennes". Afin que la valeur de leur propos puisse expliquer non pas un phénomène actuelle mais l'ensemble des phénomènes relatifs à la théorie, d'hier, d'aujourd'hui et de demain.
La difficulté réside alors dans l'universalité de la théorie. Il faut que celle-ci soit réalisé sur une longue période pour être enfin "admise".
Si une théorie scientifique accède plus facilement au rang de l'universalité, on notera par excellence la théorie d'Isaac Newton (mathématicien, physicien et astronome anglais) sur "l'Attraction universelle"; une théorie "humaine", "sociale" risque en permanence la critique, la révision.
Prenons par exemple, en économie l'école classique. Alors que certains économistes contemporains préconisent, dans le contexte actuel, le retour aux théories classiques, je m'intérroge sur la nature de ces théories. Lesquelles ?
Puisque si l'on s'intéresse à l'école classique, nous remarquons qu'il est très difficile à discerner une théorie commune à ces économistes dont les plus connus restent Smith, Ricardo, Malthus, Say... Si'ils cherchent à expliquer les mêmes phénomènes, si certaines de leurs propositions coïncident, l'école classique est loin d'être homogène (par exemple deux conceptions de la valeur).
Un décalage oppose donc les théories scientifiques aux théories dites "sociales".
Ce qui m'amène à la notion "discipline" : " Science, matière pouvant faire l'objet d'un enseignement spécifique". On dit donc qu'une discipline naît à partir du moment où elle ets une science c'est à dire un ensemble de connaissances approfondies des choses dans ce qu'elles sont. Et le termes "ce qu'elles sont" nous ramène à l'idée qu'une science pour être générale doit se composer de théories générales.
Vous me suivez ?
Concrètement, c'est peut-êtreà cause de ceci que la classe S est valorisée dans l'enseignement secondaire, porteuse d'une doctrine fiable et de théories universelles (qui ne sont que rarement remises en questions). Pour ce qui est de la classe ES, l'enseignement destiné aux élèves est bien souvent remanié encore et encore, parfois même les fondamentaux sont modifiés.
dimanche 19 octobre 2008
Compte tenu de la quantité de travail que je dois digérer, je suis assez satisfaite de mon 8/10, résultat du test hebdomadaire de rue89 sur l'actualité.
Mais j'avais bien envie de vous parler en cette après-midi ensoleillée, de la langue du candidat à la maison blanche Mr John MacCain qui de façon incontrolable s'étend hors de la bouche de ce vétéran maintenant connu internationalement pour son "sang froid" et ses paroles d'une intensité à vous couper le souffe "I'm not George Bush !". En effet aussi encombrante soit-elle, nous noterons tout de même la longueur, mais surtour la vigueur de ce morceau de chair rose, celle-ci n'en fait qu'à sa tête et s'éjecte tel un serpent sur son ragondin, désireuse de s'aventurer au dehors, quelle que soit la manifestation publique grondant derrière les cellules vieillissante de la lèvre du sénateur. Grâce au travail des photojournalistes, et à leur majestueux réflex aussi rapide que la lumière, malgré la rapidité dont elle fait preuve, cette dernière apparaît sur de nombreuses photos désormais réparties dans la presse internationale.
On l'aperçoit lors du dernier débat opposant MacCain à Obama, alors que le sénateur oscille entre la droite et la gauche (au sens littéral).