mercredi 7 octobre 2009

Je vais m'y remettre, faut bien !

Nouvelle année grenobloise, qui débute agréablement avec un été qui ne semble pas vouloir s'éteindre et qui nous permet de profiter encore un peu de déjeuner sur l'herbe et de sorties nocturnes en gilet.
Je n'ai pas écrit ici de puis bien longtemps. Mais je vais me remettre en selle, c'est une nécessité.
En attendant de trouver un sujet, je file en douce.

Et vous laisse sans voix, béa, face aux prouesses musicales du pianiste Alexandre Tharaud.

vendredi 29 mai 2009




Vous trouvez ce dessin d'actualité ?
Quelque chose vous interpelle quand au réalisme de l'acnée de de grand "çadoipétiste"...
Comme je vous comprends j'ai ressenti la même chose !


J'ai craqué !

Si vous ne la connaissez pas, il est grand temps pour vous de passer au web 2.0, de se sortir (à travers l'écran), d'être plus curieux... et surtout de se passionner pour le blog de Penelope Bagieu.
Un p'tit bout de femme parisienne, très clairement bobo, très vêtements/chaussures, mais surtout très déssinatrice talentueuse. Elle a l'art de rendre risible les tracas quotidiens, ce genre de petites réflexions personelles dont on sait qu'on est certainement pas la seule à penser ça (ça y est, vous ne me suivez plus, je vous ai déjà perdue)

Personnellement je ne m'en lasse pas ! 



mercredi 27 mai 2009

La belle verte.

"Non monsieur, je ne me fous absoluement pas de votre gueule..."
Film de 1996, commence à dater et pourtant est plus que jamais d'actualité. 
Une base, un graal pour tous les écolos purs et durs, qui prédisent à l'homme un destin rayonnant s'il parvient à sortir de la mouise dans lequel il s'était auto-jeté et développé.

Bon résumons ce film de Coline Serreau, visionnaire !
La belle verte est une planète plus ou moins voisine de la terre où à s'y méprendre l'ensemble des troupes hippies 69' s'est téléporté. La vie est belle sur la belle verte. Peuplée d'humains, petite planète, un seul climat, une solidarité incroyable. 

Le bel vertueux :
L' habitant de la belle verte vit en moyenne 250 ans si bien qu'il a en général trois voir quatre dentitions. Il a les même caractériqtique physique qu'un humain, outre le fait qu'il utilise pleinement l'ensemble de ses capacités neurologiques. (of course !)
Le bel vertueux est végétarien et crudivore.

Il peut communiquer avec les autres beaux vertueux par télépathie à partir du moment où il a les pieds dans l'eau. Pour se faire tel l'humain voulant imiter l'élan il place ses mains de chaque côté de sa tête en étend ses doigts puis les fait délicatement bouger captant ainsi la parole de celui avec qui il communique. De plus, il peut également transmettre et recevoir savoirs et programmes de la même façon.



Histoire :
Pour faire simple, ils ont 3000 ans d'avance sur la terre. Ils sont eux aussi passés par l'ère industrielle avant de se tourner vers un boycot général de toute forme de consommation, pour finalement trouver un équilibre de paix sans consommation, sans monnaie, sans dirigeant.

Organisation familiale/personne :
Ils vivent en famille et chaque famille se spécialise dans une ctivité physique bien précise. Le nombre d'enfant est déterminé lors de la réunion de contraception qui tient lieu chaque année par village, celui-ci étant induit par le niveau des récoltes. Le travail de la terre est collectif et le partage des récoltes est équitable cela ne leut viendrait même pas à l'idée de posséder quoi que ce soit de plus qu'un autre.

Organisation politique : 
Il n'y a pas de dirigeant sur la belle verte. Ces humains sont très bien organisés. Ils se retrouvent tous un fois l'an, au sommet d'une montagne ( Pourquoi au somment d'une montagne ? Parce qu' quand on a marché deux heures dans une montagne on est plus intelligent !), lors de la réunion des planètes. Ils décident alors du nombre de couteau à forger, des programmes d'éducation pour les enfants et surtout ils choisissent les émissaires qui se rendront sur les planètes peuplées d'humains (on le suppose), afin d'apprendre sur les habitants qui peuplent ces planètes.

Journée type :
L'ensemble de la matinée est dédié dans un premier temps aux sports (chaque famille ayant un sport spécifique), afin de se dépenser, de s'épanouir et de se fortifier (de bon matin) puis dans un second temps de la matinée ils s'occupent (par village probablement) des cultures. Puis l'après midi ils "s'occupent de leur cerveau".

Education :
Les matières enseignées sont : La telepathie, l'intuition du futur, d'archéologie, de voyage inter-stélaire, de mathématiques de l'espace.

Bon résumons, la situation initiale. Lors de la réunion de planète personne ne souhaite se rendre sur la terre, soit disant une planète d'arriérés, où tout le monde voudrait être chef, où la monnaie est encore utilisée, où ils se déplacent en automobile. Du coup l'idée est de les aider à évoluer ces pauvres terriens en envoyant quelqu'un avec un programme de déconnection. Lorsqu'un humain serait déconnecté il mûrirait d'environ 500 ans. Seule Mila (d'ailleurs incarnée par Coline Serreau) est volontaire, motivée par découvrir d'où viennet ces ancêtres (car elle a un peu de sang terrien !)
La voilà partie pour la planète Terre, dans une bulle argentée, parée d'une robe "empire" soit disant pour mieux se fondre dans la masse terrienne.

Bon je ne vous en dévoile pas plus, il faut que vous le voyiez pour comprendre mon engouement et mes insinuations écolos !

Voici le lieu vers La belle verte en streaming

Sinon pour ceux qui n'ont pas encore le haut-débit :

Scène culte :

Petite présentation du quotidien des habitants de la belle verte :

mardi 26 mai 2009

Europe Ecologie Playlist.

C'est fou, c'est magique, c'est électrisant... le nombre d'artistes chouettes qui soutiennent le mouvement lancé par Dany ! J'aime à penser que ce ne sont que le premiers et que d'autres vont rejoindre la liste (en attendant le discours de Nicolas Hulot, à la veille de la fin de la campagne !)
Sur ces mots, bonne écoute !

Hier soir meeting avec José Bové et Michèle Rivasi, on se sent nombreux et motivé malgré des médias qui ne filment que lorsque Rivasi répond à une question sur la canabis, ou bien si Bové tente de calmer les divergences à propos de la contitution. 

Merci pour cette super playlist, once more ! Move on up !


Découvrez L'Homme Parle!


Voici également, en retard, le fameux  lipdub d'Europe Ecologie, où l'on peut voir se trémousser l'ensemble des candidats, sur du son sympatoche "La crise" par L'homme parle !


vendredi 27 mars 2009


L. Fabius par mes petits doigts.
(09/08 Canon EOS 300D)


Signe et persiste !

Pour continuer dans la famille des "vieux séniles" (je demande le vieux... mais lequel ?), je dirai simplement que si certains ne font que s'entêter dans leur bêtise, d'autres sont à la limite de l'impardonnable.

JM. Lepen, ou comment un anti-européen ridiculise la France à Bruxelles.


Il était temps que je revienne écrire deux ou trois choses par ici...

Serge Dassault, ou comment réinventer l'ultra-libéralisme.



La vidéo que je vous présenté aujourd'hui a déjà surement fait le tour du web.
Mais, je vais tout de même vous en faire un petit résumé et y laisser quelques touches personnelles... à ma sauce !
Comment l'aborder ? Je crois qu'il faut tout d'abord savoir prendre du recul et se préparer à en rire.

Invité sur iTélé, Serge Dassault, industriel et sénateur UMP, s’est emporté contre la France de la grève, des syndicats, des CDI et des fonctionnaires… Autant d'institutions qu’il espère voir disparaître au profit de la glorieuse entreprise.

«Les Chinois travaillent 45 heures par semaine, ils dorment dans leur usine, ils font de bons produits pas chers», raconte Serge Dassault, les yeux brillants d'envie, en ce jeudi 10 juillet 2008.

Comment peut-on s'entêter dans ce genre d'opinion. On frôle la sénilité... les 83 années du haut desquelles notre bonhomme nous observe ne jouant pas en sa faveur. On sent qu'il sort d'un autre âg, d'une autre époque comme s'il venait de se réveiller d'un très long et beau rêve où les acquis sociaux n'existaient pas, où la lutte contre les inégalités était encore l'utopie de quelques marginaux.

Le must de cette vidéo, encore qu'en elle-même elle vaille déjà son pesant de cacahuète, ce sont ces dernières paroles. Je relate, alors que le présentateur effectue un gentille petite transition comme il se doit, pour présenter un nouveau sujet : "Est-ce que vous aimez la musique... la musique classique, Serge Dasssault ?", ce dernier fait la moue ces ces dernières paroles seront "Ce n'est pas mon fort", le présentateur conclue alors son interview en inssitant sur la valeur travail si chère aux yeux du patron du Figaro.
Ah mais oui "la culture, ça fait mal à la tête !", la culture n'est pas un secteur lucratif, pardon ! Les intemittents ? Pardon ce terme ne fera bientôt plus partie de la langue française !

Bonne journée et surtout n'oubliez pas... TRAVAILLEZ !!


vendredi 30 janvier 2009

"Un prof qui disparaît c'est une voiture qui brûle"


mardi 13 janvier 2009


En partiel, pour mon plus grand plaisir...


dimanche 11 janvier 2009

Comprend qui peut !

Et cette fois-ci, aucun sophisme.

"Le pouvoir de dire non en fait n'existe p... existe et le pouvoir de dire oui , non, parce que chaque pouvoir équilibre l'autre dans un mouvement de paralysie quasi générale.



comme à ma grande habitude : "merci Rue89"

vendredi 9 janvier 2009

En ces temps sombres qui rythment encore et encore le conflit Israelo-Palestinien, je ne saurai que trop vous conseiller ce roman.

J'aime beaucoup Valérie Zenatti.

Ce livre en particulier.

Née à Nice en 1970 dans une famille juive, Valérie Zenatti a émigré en Israël à l’âge de 13 ans. Avec sa famille, elle a vécu à Beer-Sheva, ville du sud d'Israël. De 1988 à 1990, elle effectue son service militaire comme toutes les jeunes Israéliennes de son âge.

« J'avais toujours cette impression de ne pas être au bon endroit. Je me sentais ashkénaze, mais ma famille était séfarade. J'ai rejeté la religion, tout en vouant une véritable passion à la Bible et au Talmud. J'adorais Jérusalem, mais je faisais tout pour aller à Tel-Aviv. » (extrait d'un entretien de l’auteur avec Émilie Grangeray, Le Monde 27 septembre 2002)
[Opéra]tion free[ze]


Le 13 décembre dernier, je me suis rendue à Lyon pour "Freezer".
Pour quoi ? pour "freezer", c'est à dire être dans la confidence avec quelques centaines de personnes (environ 400) et préparer un spectacle de rue quelque peu étrange.

Le but de ce plan génialissime est le dernier :

-Se retrouver en un lieu pré-définit une heure avant le début du freeze. Se partager en 14 groupes pour mieux infiltrer la place de l'Opéra. Régler nos montres à l'heure et donner le signal de départ "dans trois quart d'heure personne ne bouge".
-Se rendre sur place, "hôtel de Ville Louis Pradel", effectuer un repérage, puis se ballader, faire sa vie, ne pas stagner sur place.
-Les minutes défilent et les 45 passent comme une éclair. Enfin arrive la détonation (un pétard géant), signal de départ, ou plutôt d'arrêt.

Le regard se fixe, les membres se figent, la respiration se coupent et tentent de se faire discrète.



dimanche 4 janvier 2009

Ce mois-ci j'ai découvert Patricia Petibon.